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Georges SENGA
Kadogos
Il y a quelques années, le gouvernement congolais a interdit des jeux à caractère militaire destinés aux enfants, dont « les plaines des jeux », Immenses rencontres d’enfant âgé de 6 à 18 qui ont lieu chaque année pendant les vacances scolaire. Cette interdiction mettait en exergue le lien entre l’envie de « jouer à la guerre » des enfants etl’enrôlement des enfants soldats dans les différents conflits armés qui sévissent en R. D. Congo. Cette envie a été largement suscitée et entretenue par ces jeux. D’un autre côté, les violences perpétrés par les différents groupes armés, dont la virulence repose sur la malléabilité de ces enfants ne cessent de défrayer la chronique, et de nombreux procès sont en cours à la cour pénale internationale. Le but principal des plaines des jeux, est d’occuper les jeunes pour le dévier auxautres activités sociales qui peuvent leur faire perdre une bonne lignede conduite. Ces jeunes s’organisent pour représenter leur réalité sociales, et ils sont influencer par leurs milieux, surtout pour les enfants qui vivent a coté des camps militaires, influencé par les Réunions matinales que le vrais militaire appellent “Parade” cetteinfluence s’est étendu sur toute la ville avec l’arrivé de “AFDL” ou il y avait des “ KADOGOS” enfants soldats. Sous influence, ils aiment bien se déguiser en soldat, pour s’affronter entre eux, et cet affrontement n’est pas violant, mais c’est par l’accoutrement, les pats de danse et leur chorégraphies que l’on s’est voir une différence. Vers les années 1997, moi même j’ai étais témoins de voir les enfants soldats dans la ville de Lubumbashi, et quelques années plus tard, je revois encore les enfants qui jouent a l’enfant soldat pour recevoir une prime après la fin des vacances; Il est vrais qu’en République Démocratique du Congo, il y a réellement les enfants soldats, mais on autorise pour une seconde fois aux enfants a jouer ce jeux... J’ai décidé de faire des portraits de ces enfants dans cette ambiance des jeux, qui veulent s’approprier une identité sur base d’influence. Il est vrais que leur histoire est vraiment illusion, parce que dans leur nouvelle identité, il ne s’imagine pas en enfant soldat, mais en grand soldat, ceux-ci ma ramené a avoir une vision a la réalité que moi et les autres enfants ont vécus en 1997 avec les vrais enfants soldats. Les portraits des ces enfants a commencé a défiler dans ma tête et me faire pensé aux témoignages vrais d’un enfant soldat, qui s’appel Serge Amisi, lui qui a été enrôlés par la force, et n’a pas choisi d’être un soldat. Privé de ses droits, il décide de raconter sa propre histoire pour qu’on se souvienne de lui. En confrontent les portraits des enfantsqui jouent au soldat et le récit d’un vrai enfant soldat, je veux appuyer son témoignage écrit en choisissant quelques paragraphes dans son livre et mon témoignage visuel que j ai vécu en 1997, pour montrer dans un travail fiction sur dyptique, que c’est une réalité qui se passe encore en RD Congo jusqu’ aujourd’hui en me pausant une question. Que serrai-t-il l’avenir pour l’enfant Congolais?
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